Mont de Dinh
Mettre à jour: 23 Octobre 2014
(TITC) - Le mont de Dinh est situé dans le district de Tan Thanh, province de Ba Ria - Vung Tau. Il s'agit d'un complexe de montagnes et de plantes avec des pagodons, des pagodes, des temples uniques situés le long des ruisseaux.

À propos de son nom, les habitants locaux racontent qu’en raison du climat sur cette montagne qui est frais, le gouverneur général français avait fait construire un Palais qui servait de station d’altitude. Plus tard, les gens l’appellent le mont de Dinh (Palais). Tandis que les autres pensent que ce nom vise à rendre hommage à Monsieur Nguyen Van Dinh qui a grandement contribué à découvrir et à construire la terre de Ba Ria - Vung Tau.


Le mont de Dinh est d’une hauteur d’environ 500m. D’une superficie totale de près 60km², ce mont est considéré comme celui le plus grand et unique de Ba Ria - Vung Tau. À partir du sommet du mont de Dinh, le Ruisseau de Fée (Suoi Tien) ondule, à un certain tronçon, il se transforme en une petite chute d'eau murmurante et à un autre, il devient un lac aux eaux calmes et limpides. Plus l’on va à contre-courant, plus le paysage est magnifique comme pour attirer des visiteurs vers le sommet. Sur les deux bords du ruisseau, ce sont tantôt les pelouses lisses, tantôt les vieux arbres luxuriants aux racines enchevêtrées, tantôt les forêts de fleurs vierges qui se réfléchissent dans les eaux, tantôt les rochers en formes étranges qui ressemblent soit à une tête de serpent, soit à une mère qui porte son enfant ou soit à un tigre qui s’agenouille...Étant debout dans la nature immense, les gens se sentent soudainement petits, éclaboussés et extatiques de manière incroyable.


Sur le versant de la montagne, tantôt apparaissent, tantôt disparaissent les pagodes dont un grand nombre sont d’une grande valeur sur les plans religieux et artistique telles que la pagode de Hang (Grotte), la grande pagode de Tung Lam (forêt de pins), la pagode de Tay Phuong (Ouest)... Assis à l'ombre des arbres le long du ruisseau, en écoutant le murmure des eaux, les chants des oiseaux de forêt, les récitations des livres liturgiques du Bouddhisme, les échos des cloches et des cloches en bois, on se sent détendu et paisible de façon étrange.

 

Tran Thao